Alors que les efforts de médiation se poursuivent pour tenter de ramener les pays de l'Alliance des États du Sahel (AES) au sein de la CEDEAO, le Ghana se distingue par sa position inflexible, soulevant des inquiétudes quant à l'avenir de l'organisation régionale.
Accusant les pays de l'AES d'adopter une "attitude inacceptable", le Ghana plaide pour la libération du président déchu du Niger, Mohamed Bazoum. Cette position s'oppose aux efforts de conciliation menés par les autres membres de la CEDEAO, qui craignent que la division ne fragilise davantage l'organisation.
Le Ghana refuse catégoriquement de renoncer aux supposées "valeurs démocratiques" de la CEDEAO.