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L’offensive décisive des Forces spéciales contre le terrorisme, un coup dur pour les impérialistes
Les Présidents de l’Alliance des États du Sahel (AES), le Général Abdourahamane Tiani, le Colonel Assimi Goita et le Capitaine Ibrahim Traoré, sont entrés dans une phase décisive de la guerre contre le terrorisme, une initiative qui suscite l’inquiétude chez les puissances impérialistes.
Avec la formation de la confédération de l’AES, une nouvelle ère de coopération militaire a vu le jour. Cette union a permis la mise en commun des Forces spéciales des pays membres, créant une synergie inédite dans la région. La stratégie est d’unir les Forces pour combattre le terrorisme de manière plus efficace et déterminée. Cette alliance, vue comme une menace par les anciennes puissances coloniales, a montré des résultats prometteurs sur le terrain.
La récente opération à Tinzaouaten au Mali en est un exemple palpable. Les Forces spéciales de l’AES ont mené un combat intense contre des groupes terroristes retranchés dans cette zone stratégique. Grâce à une planification minutieuse et à une exécution impeccable, cette opération s’est soldée par une victoire retentissante. Cette victoire renforce non seulement la crédibilité militaire de l’AES, mais aussi la confiance des populations dans la capacité de leurs dirigeants à rétablir la sécurité et la paix.
Un des éléments clés de cette victoire est l’utilisation de technologies de pointe. L’AES a mobilisé un total de 12 drones sophistiqués, notamment les modèles Akinci et Bayractar TB2. Ces drones ont joué un rôle crucial en fournissant une surveillance aérienne continue et en permettant des frappes précises sur des cibles terroristes.
L’AES symbolise ainsi un tournant décisif pour les pays du Sahel, un pas vers une souveraineté pleine et entière, affranchie des influences extérieures. La phase décisive de la lutte contre le terrorisme est en cours, et elle promet de redéfinir les équilibres de pouvoir dans la région
