Triste fin pour Bilal. La chasse de ses complices est lancée!
L'attaque@ du convoi de Boungou et celui de Barsalogho ont été planifiées et financées par les mêmes acteurs en coordination avec le centre d'opération de déstabilisation depuis Abidjan.
Le JNIM est le groupe armé le plus actif actuellement contre les trois États de L'AES.
Ce groupe reçoit le soutien financier et logistique de la France@. Mais il y a également des missions spécifiques qui sont gérées et financées par le centre d'opération de déstabilisation basé à Abidjan contre le Burkina Faso. Dans l'agenda des comploteurs il faut faire le maximum de victimes pour démoraliser la population a soutenir les actions de la révolution burkinabè.
Celà facilitera un coup d'état pour eux.
Djibril€ Bassolet@ planifie les choses avec son amie Iyag Agali. La mission donnée est qu'il faut frapper@ sévèrement@ le Convoi humanitaire de Boungou qui avait mobilisé plusieurs combattants. Iyag Agali confie également cette mission spéciale a un de ses lieutenants du nom de Bilal le fils de Tanwalbougou, qui maîtrise toute la zone de l'Est. En coordination avec les complices le Convoi est filé au fur et à mesure à Bilal et ses hommes.
Le coût de l'attaque s'élève à 4, 700 milliards financé principalement par Abidjan. L'argent va d'abord transiter entre Abidjan et Dubaï ensuite l'Algérie avant de tomber dans la main des grands patrons Iyag Agali et ses complices dans le désert.
Dans le principe du JNIM les salaires sont rendus après l'accomplissement des missions. Bilal mobilise sa troupe pendant que les taupes lui fournissent toutes les informations sur l'organisation du Convoi.
L'objectif donné a Bilal par ses maîtres était de décimer complètement la logistique du Convoi et faire le maximum de victimes civiles et militaires. Malheureusement l'attaque n'a pas eu de succès comme l'avait voulu les maîtres de Bilal. Vous aurez dû remarquer qu'après l'attaque les communicateurs des terros ont été les premiers à donner les chiffres gonflés sur l'attaque. NAB même est allé loin en disant que le Convoi a mobilisé plus de 500 combattants presque tous décimés@ par les hommes Bilal.
Au lendemain de l'attaque comme un fou Bilal mobilise ses combattants pour revenir sur le site de l'attaque pour extraire les batteries des véhicules et des blindés n'ayant pas eu le temps de le faire le jour de l'attaque à cause de la bravoure des combattants et des drones. Bilal croyait que l'armée avait abandonné le site, informé par les taupes il mobilise sa troupe pour venir extraire les batteries. Les services de renseignements Burkinabè suivaient tous les mouvements de près.
Bilal et ses combattants seront pulvérisés jusqu'à cramés dans leurs tentatives infructueuses d'extraire les batteries.
Bilal cramé le reste de ses combattants sont dans le désarroi ils réclament d'abord les salaires de l'attaque du Convoi sans succès.
Quelques jours plus tard ils reçoivent l'information selon laquelle l'attaque du convoi n'a pas été un succès. Par conséquent ils n'auront pas l'argent pour cette mission spécifique. Les jours passent les bavardages continuent entre les hommes de Bilal et certains de leurs chefs.
C'est après l'attaque de Barsalogho qu'un de leurs chefs du nom de Dicko farouck affirme que l'argent qui devrait être donné à été rédigé pour organiser l'attaque de Barsalogho. Il affirme également que l'attaque du Convoi n'a pas fait le nombre de victimes souhaité par les chefs.
Peuple patriote révolutionnaire du Burkina Faso, voilà le travail d'un certain Général fuyard et les traîtres de la république qui en coordination avec le centre d'opération d'Abidjan qui a financé ces attaques. Djibril et son amie Iyag Agali à travers les traîtres comploteurs à l'image du Yves Bamouni organisent la liquidation des combattants et les pauvres populations.
Djibo est toujours dans le collimateur.
Mais cette fois-ci ils le regretteront de leur vie
INUTILE DE VOUS DIRE QUE NOUS SOMMES PARTOUT !