
<< Je croyais quâon arrĂŞtait dâaller mettre telle ou telle personne Ă la tĂŞte de tel ou tel Ătat. Quel quâil soit dâailleurs, Ce nâest pas un jugement de valeur Ă lâĂŠgard de M. Gbagbo. Je ne suis pas amie Ă M. Gbagbo, je ne lâai jamais rencontrĂŠ de ma vie. M. Gbagbo, câest un socialiste. Il ĂŠtait dans lâInternational socialiste. Il nâĂŠtait pas proche du Front national. Je croyais justement quâon avait dit quâon arrĂŞtait la France- Afrique, quâon arrĂŞtait les interventions militaires qui consistaient Ă porter tel ou tel au pouvoir. Je pense que les institutions ivoiriennes permettaient de dĂŠterminer qui avait raison ou tort, dans le dĂŠbat ĂŠlectoral qui avait lieu. Je ne suis pas sĂťre que les Ivoiriens aient gagnĂŠ en libertĂŠ. Je nâai pas de jugement sur M. Ouattara, je nâai pas de jugement sur M. Gbagbo. Jâai quand mĂŞme le sentiment quâaujourdâhui, celui qui est Ă la tĂŞte de la CĂ´te dâIvoire lâest parce que la France, par la force, l'a aidĂŠ Ă y ĂŞtre.>> a dĂŠclarĂŠ MARINE LE PEN